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La dépression,une maladie qui a brisé une partie de ma vie...

Photo de hate-depression

hate-depression

Description :

•☆~[• Quand tout part en vrille... •]~☆•

Ce blog retrace une partie de ma vie,
ainsi que mes soucis...
C'est un peu comme un journal intime!
J'ai décidé de faire ce blog afin de pouvoir aider certaines personnes à surmonter leur difficultés,
leurs donner des conseils,
et aussi pour faire comprendre la maladie aux personnes qui ne jugent que par leurs références!
Je vous prie donc de bien vouloir réspécter ce blog...

Ainsi vos commentaires sont les bienvenus ^^


Signorina Alessia



Descente pourpre en enfer...

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Article 1-Commencement...


Ciao je m'appèle Alexia,j'ai bientôt 18 ans,
et je souffre de dépression,
de crises d'angoisse et de compulsions alimentaire (boulimie)
depuis bientôt 1 ans!

D'une part j'ai créer ce blog dans le but de faire comprendre à tous ceux qui ont sû me juger,
ce que j'ai vécu et ce qui m'est réellement arrivé,
car à travers toutes les rumeurs,
il n'y a qu'une seule et vraie version de toute cette histoire,
et seule moi je la connais...
Je vais vous éclaircir sur cette maladie qui n'est pas visible comme beaucoup le pensent...

Et d'une autre part,ce blog est ouvert aux personnes qui comme moi,
souffrent de différentes pathologies,que ce soit de dépression ou non.
Alors n'hésitez pas à me faire partager vos témoignages.
Et sachez qu'ici vous ne serez en aucun cas jugé,
je suis là pour vous écouter,vous donner des conseils,
et peut-être même vous aider qui sait...



Précision:Les articles sont postés du plus ancien au plus récent.
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#Posté le samedi 11 août 2007 08:54

Modifié le samedi 01 septembre 2007 06:05

Article 2-Qu'est-ce que la dépression?


La dépression est l'un des troubles psychologiques les plus fréquents.
Le taux de dépressifs dans la population française est de 14,9 %
dont près d'un tiers n'est pas pris en charge médicalement.
Une femme sur cinq serait touchée.
La prévalence de la dépression déclarée a été multipliée par 6 depuis 1970.
Entre 1992 et 1997,
le taux de dépressifs a particulièrement augmenté chez les jeunes de 20 à 29 ans (+ 65%),
qui on été touchés dans le même temps par une hausse de 20 % du chômage.
Le risque de présenter une dépression majeure au cours de la vie varie,
selon les études,
de 10 à 25 % pour les femmes et de 5 à 12 % pour les hommes.


-Qu'est-ce que la dépression ?

La dépression est un
"état psychique pathologique associant une modification pénible de l'humeur
et un ralentissement de l'activité intellectuelle et motrice".
(Dictionnaire de Médecine Flammarion)
C'est un état morbide, plus ou moins durable,
caractérisé par la tristesse et une diminution du tonus de l'énergie.


On distingue deux types de dépression :

1 / la dépression majeure
qui consiste en un ou plusieurs épisodes dépressifs majeurs
tranchant avec le fonctionnement habituel de la personne.
2 / la dysthymie qui est caractérisée par des symptômes dépressifs chroniques,
moins sévères, persistants pendant plusieurs années.


Les principaux symptômes permettant
de diagnostiquer une dépression chez une personne sont les suivants :

- humeur dépressive
- diminution marquée de l'intérêt ou du plaisir
- troubles de l'alimentation
- troubles du sommeil
- agitation ou ralentissement psychomoteur
- fatigue ou perte d'énergie
- autodévalorisation ou sentiment de culpabilité excessive
- diminution de l'aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision
- pensées morbides (dans 60 % des cas)
- pensées suicidaires (dans 15 % des cas)


Causes de la dépression:

On ne connait pas les causes exactes de la dépression
mais un certain nombre de facteurs favorisants ont pu être identifiés :

1 / le facteur héréditaire
Les personnes dont les parents proches souffrent ou ont souffert d'une dépression
sont plus susceptibles d'en être atteintes.
Elles ont 15 % de risque de développer une dépression
alors que les personnes dont les parents proches ne sont pas dépressifs
ont seulement 2 à 3 % de risque d'en développer une.

2 / le facteur biochimique
Les recherches actuelles sur la dépression portent sur les neurotransmetteurs.
On a ainsi pu remarquer qu'une déficience ou un déséquilibre de la sérotonine
entraînait une perte de sommeil ainsi qu'une diminution de l'appétit.
Mais aussi qu'une baisse de la noradrénaline influe sur la perte d'énergie,
le manque de plaisir.


3 / les facteurs liés à l'environnement
Les enfants ayant vécu la perte d'un être cher comme leurs parents,
sont plus sujets à développer des dépressions plus tard dans leur vie.
Des difficultés dans les relations, des problèmes de communication ainsi que des conflits familiaux, professionnels ou autres, peuvent aussi contribuer à la solitude,
à l'aliénation et aboutir à la dépression.
Les difficultés financières et autres tensions
peuvent également avoir un impact important.
Il ne faut pas négliger les facteurs saisonniers :
le taux de dépression est plus élevé au cours des mois où l'ensoleillement est le plus faible.


-Traitement de la dépression

Essentiellement deux grands types de traitements
pour la dépression :

- le traitement médicamenteux avec les antidépresseurs,
indiqués dans toutes les formes de dépressions.
Ils agissent sur l'équilibre des neurotransmetteurs.
Les antidépresseurs sont efficaces chez 75 % des personnes
souffrant de dépression sévère.
Contrairement à la croyance populaire,
les antidépresseurs n'entrainent pas de phénomène
de dépendance psychique ou physique.

- les psychothérapies : elles viennent en aide aux malades
mais ne peuvent agir comme seul traitement.

Il existe d'autres formes de traitements comme
les thérapies comportementales et cognitives
(concerne surtout les dépressions névrotiques),
la sismothérapie ou électrochoc (utilisée en dernier recours).


Evolution:

L'évolution de la dépression est très variable
et fonction de nombreux paramètres : étiologie, personnalité du sujet...
En dehors de tout traitement,
il arrive couramment que la dépression dure 6 mois voir plus avec dans certains cas,
comme terminaison extrême, le suicide.
Jusqu'à 15 % des sujets présentant un trouble dépressif majeur sévère se suicident.



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#Posté le samedi 11 août 2007 13:25

Modifié le samedi 01 septembre 2007 06:08

Article 3-Qu'est-ce que la dépression? (suite)


Symptômes généraux:

•Dysphorie (ou tristesse pathologique). C'est un vécu douloureux dans le regard que le sujet porte sur lui-même. Sentiments de culpabilité, de dévalorisation.
•Inhibition psychique. Manifestée par un ralentissement des processus intellectuels, instinctuels. Lenteur dans l'idéation, diminution de la faim, des désirs sexuels...
•Inhibition motrice.
•Anxiété. Peur de la perte, de l'abandon. Se manifeste par un vécu de perte, ou de façon impulsive dans des conduites suicidaires.
•Symptômes somatiques, biologiques et comportementaux. Souvent isolés, rendant difficile la pose du diagnostique. On voit par exemple des troubles du sommeil isolés (fatigue le soir et réveil très précoce avec anxiété), des dysomnies, des insomnies, des troubles digestifs, une constipation chronique, des troubles neurovégétatifs (baisse du rythme cardiaque, hypotension...), des troubles du langage...


-Affinement de l'étude clinique

Formes monosymptômatiques :

Typiques
•Dépression simple. Se manifeste alors une asthénie physique ou psychique. Sensation d'épuisement. Asthénie affective.
•Mélancolie anxieuse. Dominée par le vécu angoissant de la situation, avec culpabilité et crainte d'une catastrophe. Aucune recherche d'aide et donc grand risque de suicide.
Atypiques (ce sont des formes qui échappent aux symptômes généraux et dont on ne perçoit pas le vécu dépressif.)
•Neurasthénie. Personnalité hystérique de base qui s'exprime dans son corps par un mal être.
•Psychasthénie.
•Forme caractérielle. C'est un mécanisme de défense.
•Forme jalouse.
•Forme pseudo démentielle.
Graves (à cause du risque suicidaire)
•Forme stuporeuse. La personne est figée.
•Forme délirante. C'est une mélancolie atypique et grave. Les thèmes sont toujours horribles (damnation, enfer...), les mécanismes sont intuitifs et coincés ("parce que c'est comme ça!"), la structure est pauvre et répétitive.C'est dans cette forme que se voit le suicide altruiste.


Dépressions névrotiques:

Caractérisées par un sentiment de perte ("Avant, j'étais pas comme ça..."), avec angoisse dépressive où le sujet revit un abandon. On observe chez ces déprimés un centrage narcissique, une honte. Le symptôme dépressif vient combler le vide et le manque. Le fonctionnement du névrosé est très répétitif. A l'occasion de ces dépressions, on peut voir apparaître des symptômes névrotiques, comme les traits hystériques, obsessionnels et phobiques.
Le sujet déprimé cherche des relations d'Objet narcissiques, des relations en miroir, pour le soutien, qui évitent de rechercher des Objets d'identification.
Il aura parfois recours à des défenses maniaques (pour combler le manque intérieur, on essaie de gérer la réalité).


Psychothérapie:

Basée sur le principe de la communication, non directive. Mais il ne sera pas toujours possible d'entrer en communication avec un sujet mélancolique par exemple, à moins de ne parler que de lui, ce qui n'est pas souhaitable. Il doit y avoir un respect des défenses du malade car il va tester la relation que l'on a avec lui. Il faudra colmater le narcissisme, et donc engager plutôt dans ce cas une thérapie de soutien, plus directive.
Eviter les discours de valeur.


Réflexion psychiatrique:

La notion de dépression tourne autour de la problématique de la perte. FREUD, dans "Métapsychologie", l'inclut dans un processus de deuil. Le dépressif vit dans la perte d'un Objet très aimé et idéalisé. Mélanie KLEIN, dans la phase dépressive du 8e mois, parle de l'Enfant qui ne pourra plus être le premier Objet d'amour de la Mère. Toutes les expériences dépressives, de rupture dans la vie seront constituées en dépendance de la phase dépressive du 8e mois. Si l'Enfant n'arrive pas à réinvestir dans un deuxième temps sa Mère de façon satisfaisante, on pourra alors parler de structure dépressive, amenant le sujet à s'appuyer sur son entourage.


Chronologie du processus de deuil :

•Perte d'un Objet cher.
•Une fois l'Objet perdu, il y a constitution d'un Objet interne de remplacement (C'est le sens que prend la boulimie quand on se sent déprimé). Il peut y avoir tentative d'identification à l'Objet perdu (adoption de tics...). Cet Objet intériorisé est alors "bon" ou "mauvais". La perte provoque des sentiments ambivalents vis à vis de l'Autre et vis à vis de soi, de son Narcissisme (culpabilité). Si l'ambivalence est trop importante, il pourra y avoir un délire de culpabilité amenant la mélancolie (La mélancolie est toujours délirante). Et alors seule la mort semblera pouvoir effacer la "faute".
•Le deuil se fera si cet Objet intériorisé est désinvesti au profit d'un autre Objet. On retrouve là encore la culpabilité.

Les personnalités à fort Idéal du Moi seront plus dépressives (ces personnes n'arrivent pas à faire le deuil d'une image trop idéalisée du Moi).
On peut aussi se poser la question de la place de la dépression dans la psychose: La dépression peut-elle y être créatrice de guérison? Toute expérience de la perte, si elle est vécue, est une expérience de re-élaboration interne et psychique. Ce qui garde le mieux en vie c'est la pensée, l'élaboration mentale. Il y a chez chaque individu la création d'Objets imaginaires. Les Objets imaginaires du dépressif ressemblent aux Objets imaginaires du délirant. Si dans la dépression l'Objet aimé n'existe plus, le sujet peut se rebeller et le remplacer par un Objet Hallucinatoire psychotique (Objet merveilleux). Ce contournement pose la question du pourquoi.


Passage entre 2 types de représentations d'Objet:
•Objet fusionnel, merveilleux, ne facilitant pas l'identification.
•Objet plus secondaire, permettant l'identification.

Il y a toujours un mouvement entre ces Objets, et une nostalgie d'un Objet primaire (la Fée/la Bonne Mère). La dépression ne permettrait-elle pas, en progressant de manière constructive vers la régression, de faire le deuil de l'Objet imaginaire? C'est la question qu'on peut se poser. Et l'instant dépressif serait alors créateur de guérison.
Quoi qu'il en soit, le moment dépressif est à traiter avec beaucoup d'attention car il remet tout en jeu (attachements primaires à des Objets merveilleux).

L'espace est comme une enveloppe du Moi. Plus la réalité extérieure est menaçante, plus les ressources du Moi sont restreintes et plus l'enveloppe se rétrécit, pour ne devenir que l'enveloppe corporelle. C'est pour cela que certains malades, et pas seulement les dépressifs ou les mélancoliques, en viennent à ne plus sortir du lit.

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#Posté le samedi 11 août 2007 14:17

Modifié le samedi 01 septembre 2007 06:23

Article 4


Tout a commencé fin juillet 2006.
Durant toute l'année je ne pensais qu'à une seule chose,
c'est de pouvoir retourner au Cap d'Agde,
comme chaque année lorsque j'étais plus jeune.
Mes parents ne voulant pas partir en vacances,
il a été décidé que je parte avec mon parrain (Jacky), ma marraine (Régine)
et mon cousin (Giuliano).
Arrivés dans le sud, tout s'est bien passé jusqu'à un certain moment
où je commençais à me renfermer sur moi-même...
Je n'arrêtais pas de penser et de réfléchir à différentes choses,
et très vite j'ai commencé à m'écarter de la famille, et à ne vivre que pour moi.
C'est-à-dire que j'allais seule à la plage, je restais seule à l'appart,
je me baladais seule, je faisais du shopping seule,
je trainais seule dehors jusqu'à des fois très tard,
je ne partais pas avec eux lorsqu'ils prévoyaient des excursions,
parfois je mangeais seule,
et le matin je restais à l'appart et je dormais pendant qu'eux ils sortaient.
C'était bien, j'étais autonome je pouvais faire ce que je voulais,
mais un beau jour j'ai commencé à avoir des crises avant d'aller à la plage,
et donc j'ai paniqué et je n'osais plus y aller...
Les crises s'enchaînaient et à chaque fois l'une aussi violente que l'autre,
mais très vite ces crises se sont répétées à chaque fois que je sortais de l'appart.
Ce fût une horreur...
Je ne comprenais pas, mais j'ai dû me faire violence pour sortir,
je n'avais pas le choix...
Au même moment j'ai appris le décès d'un ami,
que j'étais justement censée aller voir avant de partir en vacances,
mais je n'avais plus le temps d'aller le voir car il fallait que je prépare mes affaires!
Je me suis sentie vraiment nulle...
Après ça, j'ai appris que certaines personnes que je pensais êtres de VRAIS amis,
ont parlé dans mon dos, et ça je n'ai carrément pas apprécié !
Donc j'avais qu'une seule envie c'était de rentrer,
parce que mes vacances étaient gâchées !
Mais quelques jours après,
Jacky décida d'appeler son oncle qui habite à Saint-Pantaléon (Bourgogne),
et qu'il n'a pas vu depuis très longtemps.
Il s'est dit qu'on pourrait profiter de l'occasion pour aller lui rendre visite.
Finalement une fois partis du Cap d'Agde,
nous nous sommes rendus chez cet oncle (Jean-Claude), on a passé une nuit là-bas,
c'était vraiment génial, mais malgrès ça je voulais à tout prix rentrer chez moi j'en pouvais plus...
Bref après avoir quitté la Bourgogne, nous voilà en route pour l'alsace.
A peine j'ai déposé mes valises dans le couloir, que ma mère me prend déjà la tête,
là j'étais vraiment trop saoulée et en plus de ça elle m'annonce un deuxième dècés,
mais cette fois-ci dans notre famille...
Je suis choquée !
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#Posté le dimanche 12 août 2007 14:02

Modifié le samedi 01 septembre 2007 06:32

Article 5


4 septembre 2006=rentrée!
Enfin...il était temps!
Je n'attendais que ça, de pouvoir retrouver mes collègues de la terminale L !
J'avais trop hâte de revoir ce petit monde qui m'a tellement apporté
tout au long de l'année de la première.
Et j'avais également hâte de pouvoir me retapper des délires avec eux !

Mais une fois arrivée au lycée, j'ai été prise d'un malaise, qui ressemblait à celui que j'avais durant mes vacances dans le sud, mais cette fois-ci, c'était encore plus violent !
En me regardant dans un miroir, je me suis demandé si je devais partir du lycée, ou rester, je ne savais plus quoi faire, mais j'étais en quelque sorte obligée de rester pour avoir mon emploi du temps...etc
Alors il ne restait qu'une solution, c'est avaler des médocs.
Sans hésiter, j'ai tout de suite avalé un anti-vomitif !
Pensant que ça allait passer, j'ai essayé de paraître la plus naturelle possible devant tous le monde, mais bien sûr tous le monde a remarqué que ça n'allait pas,
j'étais blanche, j'avais le vertige, des nausées et je ne parlais à personne,
je ne pouvais pas sourire, j'avais l'impression d'être paralysée !
Une fois que nous étions dans la salle avec le prof principal,
je pensais que ça irait mieux mais je me suis trompée...
pourtant c'était vraiment dla balle pour un premier jour,
parce que grâce à beck on a pu prendre le petit dej en cours, parce qu'elle a eu l'idée de commander des croissants pour tous le monde lol !
Mais moi je ne pouvais rien avaler, j'étais vraiment pas bien.
A midi, je me suis forcée à avaler quelque chose et j'ai repris un médoc ...mais en vain.
Ca a donc duré toute la journée, je n'en pouvais plus j'ai cru que ça faisait un mois
que j'étais dans ce lycée, il fallait que je parte !
Enfin rentrée chez moi, j'étais complètement fatiguée, j'avais des crampes au ventre,
je me sentais trop mal.
Pensant que j'étais malade, on a appelé le médecin mais il m'a dit que je n'avais rien...
Pourtant le lendemain je ne suis pas retournée au lycée, le jour d'après non plus et la semaine d'après non plus, ainsi de suite !
Retour au médecin qui cette fois-ci pensait que je faisais une phobie scolaire,
il m'a donc orienté vers une psychiatre.
La première chose qu'elle a faite, c'est de me prescrire des anxiolytiques et des antidépresseurs
(à ce moment-là je ne savais pas que c'était des antidépresseurs, elle ne me l'avait pas dit, elle m'avait simplement précisé qu'elle me prescrivait des calmants pour réduire mes angoisses)
puis elle m'a amené à faire des séances de relaxation.
Tout ce qu'elle me disait, c'était que je devais retourner au lycée (chouette koi) surtout que je n'y arrivais plus!!!
Par la suite j'ai remarqué qu'elle était vraiment très bizarre...
Tout ce qu'elle faisait c'était de la relaxation qui m'a carrément pas aidé,
elle m'a prescrit des antidépresseurs alors que je n'étais pas au courant,
et elle m'engueulait à chaque fois que je lui disait que je n'étais pas retournée en cours !
Après plusieurs séances j'ai donc décidé d'arrêter de la voir,
je me suis dit que ça ne servait à rien et qu'elle ne m'aiderait pas.
Mais comme les choses ne s'arrangeaient pas,
j'ai demandé au médecin de me réorienté vers quelqu'un d'autre.
Je suis donc allée voir un autre psychiatre et par la suite j'ai eu un psychologue en complément...

(suite dans le prochain article)
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#Posté le mardi 14 août 2007 11:26

Modifié le samedi 01 septembre 2007 06:26

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